Ahmed Bouzouaïd, directeur du programme chez Bpifrance, est une figure inspirante du renouveau entrepreneurial. Sociologue, urbaniste, entrepreneur, il œuvre depuis des années pour valoriser le potentiel des quartiers populaires et des diasporas. Aujourd’hui, avec la sortie de son ouvrage Je dois faire du cash, boy, il donne une voix forte aux créateurs issus de ces territoires.

Ce livre profondément enraciné dans le réel, dans les rues, les idées, les luttes et les élans de celles et ceux qui créent à partir de peu, mais avec tout ce qu’ils sont. Cet ouvrage s’éloigne volontairement des manuels froids et des récits stéréotypés sur les quartiers populaires. Il ne théorise pas l’entrepreneuriat, il le raconte, il le vit, il le fait parler.

Ce n’est ni un guide pour « réussir son business », ni un reportage sociologique plaqué sur des réalités déjà trop racontées par d’autres. C’est un objet littéraire engagé, un texte à la fois incarné et réfléchi, où les histoires vibrent d’authenticité et de lucidité. Il se situe à la croisée de la narration et de l’analyse, de l’émotion brute et de la stratégie éclairée.

Bien plus qu’une simple collection de témoignages, ce livre est une immersion sincère dans des trajectoires de terrain, façonnées par la ténacité, l’ingéniosité et la volonté de faire autrement. C’est une plongée dans un entrepreneuriat qui ne suit pas les codes classiques, mais les bouscule, un entrepreneuriat qui, parce qu’il est né dans l’adversité, devient inventif, résilient et profondément humain.

Dans Je dois faire du cash, boy, Ahmed Bouzouaïd offre une véritable scène à celles et ceux que l’on n’entend jamais : des entrepreneurs des quartiers populaires dont l’histoire a souvent été ignorée, invisibilisée par les récits institutionnels. À travers leurs trajectoires, il tisse un récit vibrant où chaque parcours devient une voix puissante, transformant les obstacles en leviers d’audace et de créativité. il redonne leur place à ces créateurs de terrain, leur restitue leur parole, car comme il le résume lui-même, l’entrepreneuriat est une façon de reconquérir un pouvoir économique pour ceux à qui on ne l’accorde pas facilement.

Loin des clichés et des récits convenus, son livre est né de vingt ans d’expériences concrètes, souvent drôles, toujours lucides : “un propos vivant, drôle, lucide, né de 20 ans de terrain”. Dans ce texte à la fois sensible et incisif, Ahmed pose un regard sans filtre sur la réalité des quartiers populaires, valorisant celles et ceux qui inventent, agissent et réussissent malgré les freins systémiques.

Ce n’est pas seulement un témoignage de plus : c’est un manifeste humain, une ode à la détermination collective, une invitation à écouter ces voix qui refusent d’être oubliées, et une preuve que ceux qu’on croyait silencieux ont toujours quelque chose à dire, et souvent beaucoup à apporter.

Le lancement officiel en mai 2025 a été précédé d’une puissante campagne Ulule, générant un véritable mouvement communautaire. Sur Instagram, l’auteur affichait son excitation : « Mon livre “Je dois faire du cash, boy” sort ! ». Des figures telle que Sufyan Renucci (Chicken Street France) l’ont salué comme un véritable « shoot de fierté », avec ces mots forts :

« Business, stratégie, terrain : comment les quartiers ont conquis le pouvoir économique… On ne nous caricature pas, on nous écoute, on nous publie. »

Et s’il parle aussi juste, c’est parce qu’il parle de l’intérieur. Ahmed Bouzouaïd l’écrit lui-même :

« Je connais les Quartiers pour y être né et y avoir œuvré de mille et une façons. En tant qu’habitant, jeune galérien, sportif, artiste, étudiant, entrepreneur ou acteur des politiques publiques, je les ai parcourus en long, en large et en travers pendant quarante-trois ans, partout en France. »

Ce vécu, cette légitimité de terrain, irrigue chaque ligne du livre. C’est ce qui en fait un texte rare : une parole sensible, authentique, mais aussi une réflexion structurée et ambitieuse, où l’engagement se conjugue avec l’analyse, l’émotion avec la stratégie.

Nous avons eu le privilège de rencontrer Ahmed Bouzouaïd et d’échanger avec lui : au-delà du livre, cet échange s’est révélé riche de conseils précieux, impact, posture entrepreneuriale, solutions concrètes d’accompagnement, qui résonnent dans chaque page de son ouvrage.

En résumé, « Je dois faire du cash, boy » est un outil indispensable pour celles et ceux qui souhaitent entreprendre avec sens, identité et ambition, en faisant vibrer la voix des quartiers. C’est bien plus qu’un livre : c’est un manifeste engagé, porteur d’un projet collectif d’envergure.

Pour se le procurer et soutenir ce projet emblématique :  Commandez-le dès maintenant !

https://fr.ulule.com/je-dois-faire-du-cash-boy

Une petite surprise attend d’ailleurs nos plus fervents abonnés IAMDESI… Une attention pleine de sens, glissée là où on s’y attend le moins.
On vous laisse le plaisir de la découvrir.

IAMDESI partagera très prochainement son analyse approfondie du livre, en explorant les clés de son impact, son style singulier et la force des communautés entrepreneuriales qu’il met en lumière. Et pour continuer à faire vivre cette dynamique, nous ferons gagner un exemplaire du livre à notre communauté. Restez à l’affût !